Signe que le temps froid tire à sa fin, les inscriptions pour la prochaine saison estivale de soccer ont débuté un peu partout dans la région. À Alma, le club de soccer Boréal a connu un très bon lancement lors de sa période d’inscriptions.  

Dans son premier mois d’ouverture pour les inscriptions, le Boréal en a reçu plus de 200. Un bon début pour le club, qui vise à atteindre les 750 inscriptions cet été.  

« L’an dernier, nous en avions eu environ 700. On souhaite se maintenir, mais surtout, continuer une progression chaque année. Et comme c’est là, avec le bon lancement, l’objectif d’atteindre 750 jeunes cet été est réalisable », commente le président du Boréal, Marc-Antoine Dionne.  

Ce dernier souligne que le club est revenu lentement vers le nombre d’inscriptions d’avant la pandémie.  

D’ailleurs, il remarque que depuis la relance postpandémique, de plus en plus de jeunes se joignent au club.  

« On sent que les familles sont plus poussées maintenant à inscrire leurs jeunes dans des sports, et nous, on est très accessible en plus. Par exemple, pour les familles moins aisées financièrement, on a des fonds d’aide pour eux. On est en mesure de les aider afin de permettre à leurs jeunes d’avoir tout le nécessaire pour pratiquer le soccer. » 

Activités 

Le début des activités devrait normalement débuter en mai.  

Les jeunes pourront ainsi rapidement s’entraîner avec leur nouvelle équipe en attendant le début de saison prévu à la fin du mois de mai.  

Également, cet été, le club prévoit tenir une académie de gardiens de but.  

« On veut développer cette position et promouvoir ce poste. On a engagé d’ailleurs un nouvel entraineur qui travaillera en ce sens. »  

Personnel 

Pour ce qui est du personnel d'entraîneurs et d’officiels pour les matchs, le Boréal s’en tire juste assez bien.  

Pour ce qui est des entraîneurs, Marc-Antoine Dionne avance que le club compte sur une belle banque, mais qu’il ne serait pas de refus d’en avoir plus.  

Pour ce qui est des arbitres, c’est un peu plus difficile.  

« C’est plus difficile à recruter et on travaille fort pour améliorer leurs conditions pour rendre le travail plus attractif. On offre un meilleur salaire par match, et nous avons aussi un comité à l’arbitrage qui offre un meilleur encadrement pour les officiels. »