Le centre Dorval d’Alma devrait se doter dans les prochaines années d’un tout nouveau pavillon d’accueil. La Ville d’Alma et le Parc d’une rive à l’autre, qui gère le centre Dorval, ont débuté récemment les études pour la réalisation d’un tel projet.
La Ville d’Alma, via son plan triennal, versera un total de 200 000 $ afin d’étudier les besoins auxquels devrait répondre la construction d’un pavillon sur ce site, et préparer en temps voulu les plans et devis du projet.
« Il n’y a rien encore de très précis, on n’a pas prévu d’investissement additionnel pour 2024 ou 2025. Par contre, on sait que le chalet actuel au Dorval est désuet, donc on investit maintenant dans la planification d’un projet de construction d’un nouveau pavillon d’accueil. Comme ça, quand tout sera prêt, on sera en mesure de déposer rapidement le dossier dans les programmes de subventions gouvernementales », explique le président du service des loisirs d’Alma, François Carrier.
On ne connait donc pas encore l’envergure d’une telle construction, ni le montant que coutera ce projet, ni son échéancier.
Répondre à la demande
Le président du Parc d’une rive à l’autre, Marc Villeneuve, indique toutefois que ce projet permettrait de répondre aux besoins actuels du Dorval, qui diversifie de plus en plus ses activités.
« Le Dorval, on le connait comme centre de ski, mais on offre aussi du vélo de montagne, du fatbike, de l’escalade, de la marche, du tir à l’arc également. Là, on ne souhaite pas avoir un chalet de ski, on veut un vrai pavillon d’accueil, qui répond à la diversification de nos activités », explique-t-il.
Tout comme le disait François Carrier, les équipes s’affairent actuellement à évaluer les besoins afin de monter un projet solide.
« Tout est sur la planche à dessin pour le moment. Nous en sommes à l’identification des besoins. On fait participer beaucoup de monde et d’organismes qui fréquentent le Dorval afin de connaitre leurs besoins. On veut monter un pavillon polyvalent. »
Marc Villeneuve rappelle que le chalet actuel est désuet et ne répond tout simplement plus aux besoins actuels de la clientèle qui fréquente le centre de plein air.